La gouvernance de la pénurie des vaccins Covid-19 et le droit des brevets au crible du discernement éthique FR/EN
Il aura fallu moins d’un an d’innovations sans précédent pour aboutir à la production des premiers vaccins contre le SARS Cov-2, susceptibles d’enrayer la pandémie galopante à travers les continents. Les extraordinaires avancées de la connaissance scientifique ont mobilisé à l’échelle mondiale les moyens humains et logistiques pour connaître le virus, ses variants génomiques, sa pathogénie et développer les prises en charge curative et préventive de la pandémie. Une accélération de la recherche innovante sur les vaccins a permis de finaliser certains concepts comme celui des vaccins à ARN, d’en adapter d’autres : vaccins à vectorisation virale, vaccins protéiques, vaccins viraux inactivés, dont Fertile Vision a publié un état des lieux le 8 janvier 2021.
La vaccination anti Covid-19 : contribution éthico-scientifique (FR/EN)
La pandémie dûe au coronavirus SRAS-CoV-2 signalée pour la première fois à Wuhan en décembre 2019, a traversé le monde à une vitesse sans précédent avec de profondes répercussions sanitaires mais aussi socio-économiques. Elle mobilise les scientifiques de tous les continents pour trouver une réponse médicamenteuse et vaccinale afin d’enrayer sa redoutable progression. Certes plus d’un siècle après la pandémie de grippe espagnole (1918), la pire pandémie de l’histoire de l’humanité, nous sommes toujours à la recherche d’un vaccin universel contre la grippe (Paules 2017). À défaut d’une solution universelle (pan-coronavirus), une réponse vaccinale adaptée s’impose dans des délais rapides tout en garantissant des conditions optimales d’efficacité et d’innocuité. La pandémie Covid-19 a permis en 2020 une mobilisation mondiale sans précédent de la recherche et des moyens alloués, sources de nouvelles connaissances virologiques et immunitaires, d’innovation et de sauts technologiques contrastant avec une communication souvent tapageuse et dénuée d’information scientifique vraie et accessible au grand public.
Éthique et gouvernance de crise type Covid-19 (FR/EN)
La survenue de la pandémie liée au coronavirus, le Covid-19, et à sa pathologie virale, depuis nommée la Covid-19, ne pouvait pas être ignorée par le site Fertile Vision. Ainsi fut ouverte une rubrique « spécial Covid 19 » démontrant combien la bioéthique pouvait être une arme pour chacun d’entre nous face à la crise sanitaire mais aussi pour sa gouvernance dans notre démocratie.
Bioethics in the face of COVID-19, a weapon for the governance of the health crisis
The COVID-19 Coronavirus disease sparked a worldwide war declared in January 2020. No country, culture, or community has been spared. None of us, as individuals, can escape the potential risk of contamination with unpredictable consequences. Faced with this situation, can bioethics be a weapon within the reach of all of us?
La bioéthique face au Covid-19, une arme pour la gouvernance de la crise sanitaire
Le Coronavirus Covid-19 a déclenché une guerre mondiale déclarée en janvier 2020. Aucun pays, aucune culture, aucune collectivité n’est épargnée. Aucun d’entre nous, à titre individuel, n’échappe au risque potentiel d’une contamination aux conséquences imprévisibles. Face à ce constat, la bioéthique est-elle une arme à la portée de chacun d’entre nous ?
Anonymat du don de gamètes et accès aux origines pour l’enfant né à sa majorité
À l’issue de la première lecture du projet de loi de bioéthique, l’annonce de l’ouverture du don de gamètes à des indications sociétales provenant d’une femme en couple ou non s’accompagne de la possibilité pour tout enfant issu d’un tel don, d’accéder à ses origines personnelles. Ceci veut dire que l’anonymat du don est maintenu entre donneur et receveur.
Le don de gamètes et ses cinq parties prenantes
Le don de gamètes en France s’est construit comme une arche. La clef de voute est la solidarité, le principe de solidarité, et ses deux piliers : l’anonymat et la gratuité. Le socle s’est bâti sur les pratiques historiques du don du sang qui ont largement inspiré le don de sperme avec les CECOS jusqu’à ce que la première loi de bioéthique modifiant le Code civil ne cimente l’ensemble en 1994.
Analyse et résultats du débat avec votes interactifs sur Ethique et greffe d’utérus (4 octobre 2019)
Comme vous pouvez le visualiser sur la retransmission intégrale du débat, les votes ont fait suite à la présentation des aspects éthico-scientifiques et éthico-juridiques ainsi que d’un débat préalable à chaque question posée aux participants présents dans la salle.
- sécurité sociale
- fertilité
- EHPAD
- personnes âgées
- pandémie Covid19
- demandes sociétales de PMA
- maternité partagée
- equity of access
- levée de l'anonymat du tiers donneur
- catégories professionnelles
- demande sociétale
- pénurie
- conditions d'âge
- législateur
- don de gamètes
- accès aux origines
- filiation
- loi de bioéthique
- Agence de la biomédecine
- Covid19
- différences générationnelles
- argumentaires pour et contre
- tests
- solidarity
- débat public
- couples de femmes
- tiers donneur
- primauté de la personne
- solidarité
- bioéthique