L’heure est venue d’en tirer les premières leçons d’autant que la circulation de nouveaux mutants viraux nous rappelle que leurs conditions de vie fait partie de notre condition humaine.
Les remarquables avancées de la connaissance sur le virus, son pouvoir infectieux, ses conséquences sur la personne humaine à chaque âge de la vie, son environnement social ainsi qu’économique, nous offrent la perspective de reconstruire une autre manière de vivre, selon un modèle social réadapté. Elle se fonde sur la résilience et ses capacités propres à l’individu, à l’altérité et au corps social.
À ce titre, nous avons choisi l’exemple de la résilience de la personne âgée en cas de catastrophe pandémique, à la lumière des traumatismes psycho-affectifs qu’ont pu subir les plus vulnérables d’entre eux et leur proche environnement.
Le concept de « psycho-écologie », développé par Boris Cyrulnik, est d’un apport considérable pour notre réflexion éthique.
Un tableau synoptique sur les facteurs de résilience (individuels, collectifs mais aussi sociétaux par le décideur politique) est soumis à votre éthique participative.
Le site est à votre disposition pour partager votre réflexion, recueillir vos témoignages dans le respect de l’altérité et de la justice sociale.
Bonne lecture et à vous lire !
Jacques Montagut